chronique légère, aphrodisiaque et digeste:
écrite un jour pair, avec alcool.
chronique
légère, aphrodisiaque et digeste: écrite
un jour pair, sans alcool.
chronique que
tu lis si tu veux mais que tu te plains pas d’avoir
mal à la tête après: écrite
un jour impair, avec alcool.
chronique que tu lis si tu veux mais que tu te plains
pas d’avoir mal à la tête après:
écrite un jour impair, sans alcool.samedi, octobre 23, 2004
-19. Attention, les haricots sont mûrs, ne touchez pas aux salsifis cette année.
Merci Jaydee.
Le génie de la lampe m'a rapporté des cadeaux de son Sud Ouest natal - foies gras, magrets fourrés au foie gras, ballantines de canard, gésiers, gratons, boudins bio -produits dans une ferme proche de chez lui, avec mission d'honorer mes amis avec. La soirée a commencé normalement et gastronomiquement. Et puis. mais quel est donc cette étrange folie qui s'empare de nous si souvent et qui nous pousse à transformer des soirées « normales » en moments de délire érotique ? Ca n'a pas raté hier soir, et Luc Ferrari et Eric M, qui nous ont rejoints en cours de nuit n'en croyaient pas leurs yeux. Epinglés, les gars. On a des preuves de votre lubricité. Hé hé.
Pas de doute, on est encore jeunes. ou alors on fait bien semblant.
Quoi d'autre ? Vous n'avez rien compris à mon post d'hier ? Normal. C'était un message codé. Mais François et Ded, merci pour vos courriers. Voici la photo que Ded m'a envoyée pour me rassurer sur les choix à faire :
Merci aussi, énormément, à Lionel pour cet email tellement gentil, tellement élogieux. Pardon, Lionel de ne pas t'avoir encore répondu. Je vais le faire.
Le génie de la lampe m'a rapporté des cadeaux de son Sud Ouest natal - foies gras, magrets fourrés au foie gras, ballantines de canard, gésiers, gratons, boudins bio -produits dans une ferme proche de chez lui, avec mission d'honorer mes amis avec. La soirée a commencé normalement et gastronomiquement. Et puis. mais quel est donc cette étrange folie qui s'empare de nous si souvent et qui nous pousse à transformer des soirées « normales » en moments de délire érotique ? Ca n'a pas raté hier soir, et Luc Ferrari et Eric M, qui nous ont rejoints en cours de nuit n'en croyaient pas leurs yeux. Epinglés, les gars. On a des preuves de votre lubricité. Hé hé.
Pas de doute, on est encore jeunes. ou alors on fait bien semblant.
Quoi d'autre ? Vous n'avez rien compris à mon post d'hier ? Normal. C'était un message codé. Mais François et Ded, merci pour vos courriers. Voici la photo que Ded m'a envoyée pour me rassurer sur les choix à faire :
Merci aussi, énormément, à Lionel pour cet email tellement gentil, tellement élogieux. Pardon, Lionel de ne pas t'avoir encore répondu. Je vais le faire.
vendredi, octobre 22, 2004
-20. Obscur, obscur...
Si vous m'aviez posé la question il y a un an, je vous aurais prédit que l'automne 2004 serait professionnellement stable et simple. Il n'en est rien. Oh non. Comme il est difficile d'être indépendant. La question à laquelle je dois répondre est la suivante : que faire de John B. Root après dix ans ? Continuer ? Comment ? Seul, à la bite et au couteau comme avant ? Vendre ? Changer de métier ? Ou bien chercher des alliances nouvelles ? Je ne suis plus le jeune con mu par l'orgueil que j'étais en 95. Aujourd'hui, à bientôt 46 balais, j'ai besoin d'un peu d'ordre. Besoin de me poser les bonnes questions. Tu veux quoi, Ducon ? Devenir le roi du trou de balle mondial ? Devenir riche ? Te taper toutes les gonzesses de la planète tant que tu peux encore la lever ? Etre plus créatif ? Devenir célèbre ? Aller explorer des terrains de jeux nouveaux ? Continuer sur ton petit chemin mais dans des chaussures plus confortables ?
J'ai répondu à cette question pour moi-même hier. Il faut maintenant que j'en tire les conséquences.
Evasif, ce blog-là ? Codé ? Obscur ? Je sais. Désolé. Pas le choix.
Tiens, cadeau pour me faire pardonner :
Les fesses de Bulle. Un chef d'ouvre du patrimoine génétique mondial.
J'ai répondu à cette question pour moi-même hier. Il faut maintenant que j'en tire les conséquences.
Evasif, ce blog-là ? Codé ? Obscur ? Je sais. Désolé. Pas le choix.
Tiens, cadeau pour me faire pardonner :
Les fesses de Bulle. Un chef d'ouvre du patrimoine génétique mondial.
jeudi, octobre 21, 2004
- 21. Comme pour le saut à l'élastique, bordel !
Ally est passée au bureau, hier soir. Je l'ai trouvée en forme, belle, plutôt sereine. Elle venait d'assister au mixage de « Banlieue 13 » en Normandie et de se faire raccompagner en hélicoptère par son mentor Luc Besson qui lui a donné d'excellents conseils : « lis, cultive-toi, entretiens ton cerveau. » Hi hi, elle passe d'un père à un autre, la petite Ally. Le premier était incestueux et pas consensuel. Espérons que le second soit plus sérieux. Il faut maintenant qu'elle trace sa route dans le monde des médias sans ôter sa culotte. Ce sera pas simple mais elle a énormément de talent. Fonce, Ally, vole !
Coup de téléphone de Hot Vidéo qui m'ignore depuis des années. Ils ont vu Bulle sur Inkorrekt, je pense. L'appel de la chair fraîche. Hi hi. Mais je ne surexposerai pas Bulle, ni Mahé, Janet, ni aucune des filles qui bossent avec moi. Je ne leur imposerai jamais d'offrir leur image aux magazines. Elles le feront si elles le souhaitent vraiment. Et si elles désirent rester anonymes et que leur jeu avec moi soit un jardin secret, c'est leur affaire.
Plus de la moitié de la journée d'hier passée en réunion d'associés et de futurs associés. Contrats, clauses de sortie, pactes d'actionnaires, méfiance, confiance. Et si ? Et si .? Reniflages de fesses, combats de chiens. Mais bordel, on se décide ? Y'a du pain sur la planche, il me semble. Alors on fait comme pour le saut à l'élastique. On ferme les yeux et on y croit.
Coup de téléphone de Hot Vidéo qui m'ignore depuis des années. Ils ont vu Bulle sur Inkorrekt, je pense. L'appel de la chair fraîche. Hi hi. Mais je ne surexposerai pas Bulle, ni Mahé, Janet, ni aucune des filles qui bossent avec moi. Je ne leur imposerai jamais d'offrir leur image aux magazines. Elles le feront si elles le souhaitent vraiment. Et si elles désirent rester anonymes et que leur jeu avec moi soit un jardin secret, c'est leur affaire.
Plus de la moitié de la journée d'hier passée en réunion d'associés et de futurs associés. Contrats, clauses de sortie, pactes d'actionnaires, méfiance, confiance. Et si ? Et si .? Reniflages de fesses, combats de chiens. Mais bordel, on se décide ? Y'a du pain sur la planche, il me semble. Alors on fait comme pour le saut à l'élastique. On ferme les yeux et on y croit.
mercredi, octobre 20, 2004
-22. Bulle.
Merci à tous pour vos nombreux et gentils courriers. Pardonnez-moi si vous n'y recevez pas de réponse tout de suite. Ma boitimèle va rester naufragée encore quelques jours à cause de la charge de boulot que représente l'organisation en cours et le traitement des images et vidéos que je viens de fabriquer.
En dérushant les images, il me semble qu'on tient une nouvelle star, une nana capable de buzzer aussi fort que Mahé. La voici.
Bulle, 18 ans, toutes ses dents et toute son énergie. Une digne représentante de cette génération de nanas nées dans une société où le sexe explicite est naturel et pour qui il ne pose aucun problème insoluble.
Elle a tout essayé, ou presque, dès le premier jour, et tout lui a paru facile et drôle.
La scène dont je suis le plus fier est la scène lesbienne. Elle l'a faite avec une craquante petite nouvelle, "Chica", qui ne voulait pas que sa prestation soit hardcore pour ne pas se fâcher avec l'administration qui l'emploie. J'ai réussi, je crois, à mettre en scène un duo torride sans montrer de chattes ouvertes et de pénétrations. Juste des regards et des soupirs. Chaleur !
Bulle, t'es de la bombe !
En dérushant les images, il me semble qu'on tient une nouvelle star, une nana capable de buzzer aussi fort que Mahé. La voici.
Bulle, 18 ans, toutes ses dents et toute son énergie. Une digne représentante de cette génération de nanas nées dans une société où le sexe explicite est naturel et pour qui il ne pose aucun problème insoluble.
Elle a tout essayé, ou presque, dès le premier jour, et tout lui a paru facile et drôle.
La scène dont je suis le plus fier est la scène lesbienne. Elle l'a faite avec une craquante petite nouvelle, "Chica", qui ne voulait pas que sa prestation soit hardcore pour ne pas se fâcher avec l'administration qui l'emploie. J'ai réussi, je crois, à mettre en scène un duo torride sans montrer de chattes ouvertes et de pénétrations. Juste des regards et des soupirs. Chaleur !
Bulle, t'es de la bombe !
mardi, octobre 19, 2004
-23. Mises à jour.
J'étais parti pour assurer 4 jours de tournage. Mais, le premier jour, la fille du matin m'a fait faux bond. Ensuite j'ai du annuler la journée de dimanche à cause d'un problème de décor et de l'absence de Titof. Enfin, lundi après-midi, une seconde fille m'a posé un lapin. Résultat, je n'ai bossé que 4 demi-journées avec 4 nanas au lieu de 8 avec 8 nanas ; je ramène donc à peu près deux fois moins de scènes que prévu et il va falloir que j'y retourne dare-dare.
La bonne nouvelle, c'est que je suis plutôt heureux de la moisson. On a bien bossé, Loulou, les filles, Seb et votre serviteur. Il me semble que je fais des progrès en ce moment. Pas techniquement (techniquement, je serais plutôt en régression. Je construis des lumières de plus en plus banales, claires, basiques à la limite du baclé). Mes progrès seraient plutôt dans ma manière d'aborder les scènes, dans le regard que je pose sur les modèles et la sexualité. Plus tendre, plus direct, moins « fabriqué » Et tout le monde sait qu'il n'y a rien de plus difficile que la simplicité, n'est-ce pas ma bonne dame ?
Cerise sur le gâteau, Loulou aussi continue de progresser avec le Nikon.
Intéressant, non ? Faut qu'on fasse gaffe, si on continue comme ça, on va finir par faire des trucs jolis. Ah non !
La bonne nouvelle, c'est que je suis plutôt heureux de la moisson. On a bien bossé, Loulou, les filles, Seb et votre serviteur. Il me semble que je fais des progrès en ce moment. Pas techniquement (techniquement, je serais plutôt en régression. Je construis des lumières de plus en plus banales, claires, basiques à la limite du baclé). Mes progrès seraient plutôt dans ma manière d'aborder les scènes, dans le regard que je pose sur les modèles et la sexualité. Plus tendre, plus direct, moins « fabriqué » Et tout le monde sait qu'il n'y a rien de plus difficile que la simplicité, n'est-ce pas ma bonne dame ?
Cerise sur le gâteau, Loulou aussi continue de progresser avec le Nikon.
Intéressant, non ? Faut qu'on fasse gaffe, si on continue comme ça, on va finir par faire des trucs jolis. Ah non !
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