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chronique légère, aphrodisiaque et digeste: écrite un jour pair, avec alcool.

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chronique que tu lis si tu veux mais que tu te plains pas d’avoir mal à la tête après: écrite un jour impair, avec alcool.

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samedi, août 28, 2004

- 67. Les photos ne sont pas encore développées 

Il était très con, mon gloubiboulga d'hier, hein ? C'est sûr, il fera pas partie du best-of des posts de ce site. Mais on ne peut pas être atteint de logorrhée tous les jours, le peut-on ? Non, y'a des jours sans paroles, des jours dont on ne saurait pas quoi dire et des jours consacrés à répondre à des questions professionnelles qui n'intéresseraient personne ici.
Lola revient ce soir de son stage en Bretagne. Ca y'est, elle a un boulot, le boulot dont elle rêvait quand elle était petite. Elle a sa victoire et elle est heureuse. C'est bien. Avec son retour reviennent aussi les questions sur les difficultés à concilier vie de couple et vie de pornographe. On verra bien.
De toutes façons, je suis aujourd'hui parfaitement incapable de savoir à quoi je serai occupé demain, incapable de construire un planning ou de visualiser mon futur proche. Je sais seulement qu'il y aura des scènes à tourner, soft, hard, bi, un peu de tout, que j'aurai l'appareil photo et la caméra à la main, des questions simples en tête : « est-ce qu'elle va jouir ? » « C'est quoi le diaph ? » « est-ce qu'on a encore le temps de faire un shoot ? » « combien il reste de cassettes ? » et que je trouverai ça très rassurant.
Mon Ixus tout neuf, qui était tombé en panne à Maurice, est réparé. Je suis content. Je ne peux pas me passer d'un appareil photo. Vous connaissez l'histoire ? Un Japonais rencontre un autre Japonais. « Elles étaient comment, tes vacances ? » « Je ne sais pas, les photos ne sont pas encore développées. »

Une photo, une photo !
Oui, moi aussi ça me ferait plaisir. Hop !



Elle est venue hier. Elle est triste et un peu cassée, elle est douce et belle, métisse asiatique aux longues jambes, au pli du coude douloureusement marqué et à la sexualité sereine. On fera du bon boulot ensemble, c'est sûr.

PS. Anniversaire de Quentin, ce soir, 21h à La Cantada II, 13 rue Moret. Il aura trente ans. J'y serai.

//// bavé par |Reboot| @ 8/28/2004 11:47:00 AM

vendredi, août 27, 2004

- 68. Il est pas inspiré, biroute, aujourd'hui... 

Je devrais être en train de m'envoyer en l'air avec la patrouille Breitling, à l'heure où j'écris ces lignes. J'ai renoncé. Pas le moment, pas en état. Pour l'instant, faut garder les pieds sur terre.
- Patron !
- Oui, qu'est-ce qu'il y a, Tereza ?



- J'ai fini de passer le sol à l'alcool à brouler, jé fé quoi, maintenant ?
- Occupez-vous, j'ai du boulot.

L'après-midi d'hier a été occupé par une très sérieuse réunion de travail. Faut foncer, rattraper le temps perdu sur Internet à la fin du printemps, rouvrir explicite-art.com, plus beau, plus riche, faire buzzer le site de mon copain HPG, faire, faire.

- Patron !
- Quoi encore, Tereza ?
- J'ai trouvé oun moyen rigolo dé m'occouper.



//// bavé par |Reboot| @ 8/27/2004 11:51:38 AM

jeudi, août 26, 2004

-69. Ca me passera avant que ça vous reprenne. 

Je vous avais prévenus il y a dix jours : il y en aurait des comme ça ; je suis un bon météorologue de moi-même.

Recette du cocktail « Ataraxie »
- deux doses de whisky sans glace
- 500 mg de paracétamol
- Consommez tiède
Hop !
Michel !

Rien à raconter ce soir. Journée idiote passée à trier des photos du catalogue pour une exploitation wap. Encore une fois, cette obsessionnelle litanie d'images fabriquées il y a trois mois, un an, dix ans. Chaudes et chargées à l'époque où elles ont été faites, froides et vaguement effrayantes aujourd'hui, pour moi qui les ai tant et tant vues. Impression de bégayer, de n'être que le conservateur du musée de ma libido. Besoin de neuf, de projets.
Et puis cette rancour bien compréhensible de D., aujourd'hui au bureau, qui m'a cassé du sucre sur le dos et que je devais écouter sans broncher. D., cet innocent, cet enfant en souffrance qu'on sort de la boîte après qu'il ait bossé sur l'internet, habité chez moi, partagé beaucoup de choses (beaucoup plus que je ne le souhaitais, à vrai dire) pendant presque trois ans. Il ne comprend pas pourquoi il part aujourd'hui ; il se sent trahi. Bonne chance à lui, bonne chance à son remplaçant qui vient d'arriver. Tout l'internet à remettre sur pied et à faire enfin décoller ; il va pas manquer de boulot, le brillant petit nouveau.
J'ai oublié mon portable chez moi ce matin. C'est un signe. Je suis malade, je me sens malade. Vertiges, montées de chaleur, fatigue. C'est l'inquiétude qui s'exprime.
Elle devrait être tellement simple, ma vie professionnelle. Faire des photos, écrire les scenarii et tourner les films.. Pourquoi on n'arrive pas à cette simplicité ?
Je sais, je sais. Si j'avais pas fait « Inkorrektes » en mai, on serait pas coincés comme ça aujourd'hui, victimes du temps, des choses, des autres, avec ces quelques euros qui manquent provisoirement pour avancer. Mais si je n'avais pas fait Inkorrektes à l'époque, je serais devenu chèvre, j'aurais fondu un câble. J'avais terriblement besoin de gratifications, de me sentir exister grâce à un projet.
- Tiens, mon verre est à moitié vide ? Déjà ?
- Mais non, Jean, il est à moitié plein.
- Ah bon ? Ah oui. C'est bien. Merci Michel.

« Tu la sens, c'est violent
Tu l'entends, c'est puissant

Révolution
Tout va péter
Révolution
Va te planquer
Révolution
Tout va changer
Révolution
On n'est pas nés
Révolution
On n'est pas prêts. »


//// bavé par |Reboot| @ 8/26/2004 11:15:33 AM

mercredi, août 25, 2004

-70. « Tout seul, tout seul », répondit l'écho. 

Le surplace me rend poète. Conservation de l'énergie.
« Les miroirs feraient bien de réfléchir à deux fois avant de refléter n'importe quoi. » (merci à un certain Bertrand, documentaliste, de me faire savoir que la phrase est de Cocteau)

On se regarde en biais, réfléchis par la porte vitrée du Santa Maria. Schizophrénie paisible d'une fin de journée difficile. Les voisins sont particulièrement cons, ce soir, ça crée un silence reposant. L'ataraxie se porte exceptionnellement bien.

Il hésite, il remue dans mon crâne comme un fotus qui donne des coups de pied, puis il se lance, avant même que j'aie fini mon premier verre.
- Tu m'as pas dit un mot de la journée.
- Hmmm ?... Non, j'avais rien à dire.
Je suis calme. J'ai pas envie d'un débat. Mais il insiste, il attaque.
- Tu vas me tuer un jour, hein ? Tu y penses depuis longtemps.
- Arrête.
- Rassure-moi, alors.
- J'ai passé toute la fin de l'après-midi à me branler sur des sites de cul, ça prouve bien que j'en ai pas fini avec toi.
- Ah ? Oui. Ca me rassure, c'est vrai. Tu as encore besoin de ça. Hein ?... Hein ?
Un silence. Je bois.
- Mais qu'est-ce que tu lui trouves à cette pizzeria ? La bouffe est quelconque, le décor est immonde, les patrons sont pas tellement sympas. C'est pas chic, comme endroit.
- Whisky, Michel !
- Oui patron, tout de suite !
Michel aime bien m'appeler « patron ». Il sait que ça m'énerve.
- Ouais. C'est sûr que c'est pas un bel endroit, c'est ni un relais gastronomique ni un haut lieu culturel parisien, c'est pas branché, mais justement, c'est pour ça que ça me plaît, et puis c'est pas cher, le whisky est servi copieux, on peut écrire sur la nappe et je me sens chez moi.. J'ai pris une décision.
- Quoi ? On part pas en vacances ? On va pas se faire sucer sous les cocotiers ?
- Non, on part pas. Mais surtout, j'ai décidé que je ne monterai pas les rushes du film soft. Je peux pas. C'est au-dessus de mes forces, une telle médiocrité.
- Mais Jean.
- Quoi ?
- Tu vas livrer quoi, aux télés ? C'est mon nom, quand même, ma marque !
- Je me démerderai, je tournerai autre chose, autrement, mais ça, c'est trop pitoyable, je ne peux pas mettre ta signature dessus. Ce qui me tue, des fois.
- Oui ?
- C'est de pas pouvoir tout raconter dans ce blog sur la vie au bureau. Impossible. Pourtant, cette histoire de la survie de cette boîte que je t'ai dédiée, ça ferait des posts intéressants. Tous ces espoirs, ces attentes, ces manigances, ces stratégies, les exigences du marché, ces règles du jeu invraisemblables, ces trahisons, ça ferait du bon roman.
- Tu le raconteras jamais ?
- Je le raconterai un jour, quand je serai redevenu un branleur indépendant. Dans ma vie numéro trois.
- Quand t'auras vendu ?
- Par exemple. En tout cas, quand m'aura été ôtée la responsabilité de la prospérité de la société et que je n'aurai plus que me-myself à gérer.
- Tu feras quoi, quand ça arrivera ?
- Tu veux quoi, le scénario idéal ?... Eh ben, j'aurai toujours un pied dans le cul, je travaillerai toujours en partie avec toi comme scénariste et réalisateur de films cochons, je ferai aussi des photos de filles à poil, parce que j'aime ça.
- Chouette !
- Mais ça me prendra pas tout mon temps.
- Du temps libre ? Sans moi ? Tu vas flipper !
- Oh ? Non. Je voudrais renouer les liens avec mes obsessions de jeunesse.
- ?
- La littérature jeunesse, les histoires pour les ados. Je voudrais travailler sur des scenarii qui feront le pont entre ce que je racontais alors, dans « les yeux d'Antoine », « mon copain bizarre », dans « H3O », ce romantisme noir et mystique des gamins et ce que je sais aujourd'hui, en partie grâce à toi. Ca, c'est difficile et passionnant.
- Ouille ouille ! T'as pris quoi, là ?
- Une pizza du chef, pourquoi ?
Un silence.
- Et toi ?
- Tu poses des questions méchantes, Jean. Je mange ce que tu manges, moi. Bien forcé.


//// bavé par |Reboot| @ 8/25/2004 12:02:48 PM

mardi, août 24, 2004

-71. Argh ! 

« Whisky, Michel, vite ! »
- Oh la, il démarre fort aujourd'hui.
- Ouais, je sens que ça pas être rigolo à lire.
- On va sur un autre site ?
- Non, attends, y m'fait marrer quand y déprime.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarghhhhhhhhhh !!! (cri de colère) Le monde est laid et je suis extrêmement malheureux !
Un whisky, puis un second whisky. Oké. J'arrête de vibrer. Le métabolisme se calme. Expliquons. J'ai enfin reçu (un mois après l'envoi de la bande !) le fax d'acceptation de la chaîne. J'ai donc pu vider les disques et commencer à numériser le programme soft.. Oh ?... Non ?... Si ?.... Et si. Oh non !!! Si vous saviez, si vous voyiez ça. Ca vaudrait la peine d'organiser une projection mais je n'ai que peu envie de rire à ce sujet. Ce sont - et je pèse mes mots - les plus mauvais rushes que j'ai vu de ma vie entière. Je ne vous décris même pas le carnage, ça n'en vaut pas la peine. Pas de cadres (tout oblique, tordu.), pas de situations, pas de raccords, pas de décors, pas d'idées, rien ! Et il va falloir que je monte ça ? Non, j'ai pas assez pêché pour subir un traitement pareil !
Ce visionnage m'a mis de si mauvaise humeur que je me suis engueulé avec Loulou. Manquait plus que ça.
- Whisky Michel.
- Ca fait trois, Jean.
- Et alors, t'es pas passager sur ma moto, que je sache ?
C'est ma faute. Comme d'hab. Au début, j'avais mis dans l'équipe de production un très bon caméraman (Juju, qui a tourné quelques très jolis moments d'Elixir) mais on m'a convaincu qu'on pouvait faire des économies en se passant de lui. C'est pas des économies qu'on a fait, c'est un trou dans la caisse parce que ce tournage, vu l'ampleur du désastre, ne fournira pas plus de 30 minutes montées. Et qui c'est qui va financer et se cogner à la bite et au couteau les 40 minutes manquantes, hein ?
Pourquoi personne répond ?
Ca rend sourd, le whisky ?
...
Autre chose. « Méfiez-vous des contrefaçons »
Il y a une graphomane hystérique qui se fait passer pour Virginie Despentes dans les blogs des uns et des autres. (Il y en a peut-être plus d'une, d'ailleurs.) Mon usurpatrice à moi, qui s'est d'abord fait appeler Sophie dans ses premières interventions, m'a pourri la boitimèle pendant une dizaine de jours avec des attaques absurdes, pleines d'une nauséabonde rancour, et en faisant tout pour que je comprenne bien qu'elle était Virginie Despentes. Tant et si bien que j'ai fini par douter. Et si c'était vraiment Despentes ? ai-je pensé. Mais pourquoi, diantre, Despentes, à qui je n'ai rien fait et avec qui je n'ai pas gardé les vaches, m'enverrait-elle des courriers aussi grincheux et minables ? Elle n'a pas autre chose à foutre avec sa plume ? Perplexe, j'étais, jusqu'à ce qu'un correspondant me rassure : « ménon, ducon, elle t'aime beaucoup la Virginie, elle l'a même écrit en commentaire sur la page de l'autre prétentieux coincé http://www.hautetfort.com/slothorp/index.php?post=11865&com=1#com
là même où s'exprime aussi une autre (ou la même) fausse Despentes.
Bon, Ouf. On s'épouille donc entre gens normaux et on laisse les détraqués se torcher dans leur coin. Merci à Virginie que je ne connais pas et dont le blog est tout simplement très bien, absolument littéraire, introspectif et rigoureux comme on les aime. C'est dit !
http://www.20six.fr/Despentes

Enfin, Frère François s'émerveille :

"Ataraxie, quel joli mot. Ca pourrait être un pseudo de hardeuse.
T'imagines ? "Désirs assouvis", un film de John B Root avec Ataraxie, la nouvelle star du X... "


//// bavé par |Reboot| @ 8/24/2004 12:13:41 PM

lundi, août 23, 2004

-72. Ataraxie chérie. 

J'attends toujours, en rageant, le courrier de confirmation de l'acceptation par le service technique de Canal de la copie de « Korrektes ». En l'absence de ce courrier, je n'ose pas vider l'Avid, je suis donc bloqué et je ne peux rien faire. Trois semaines. Les chiens !
- Calme-toi, machin.
- Non !
Je hais le vide, je hais l'attente, je hais les temps morts. Je ne sais pas occuper calmement mon temps perso. Je suis tout entier bâti sur le « faire » et mon « être » est insignifiant. En l'absence d'une justification, d'une occupation professionnelle forte et impérieuse, face à moi-même, sans alibi, je suis comme un gant vide, je me branle, je me ronge les ongles, je bois, je fume et je m'abîme. (poétique, cette double utilisation du verbe, n'est-il pas ?)
J'ai jamais été doué pour l'ataraxie*, c'est pour ça que je suis tellement fasciné par Epictète, Epicure et tous ces gars du passé droits comme des « I », auto-suffisants, arc-boutés comme des phares dans la tempête du monde et des sentiments.



« Même pas mal, d'abord. »

L'ataraxie ou la sérénité du fotus. J'ai pas fini de construire ma matrice, c'est pour ça, mais finit-on jamais ?
Je vais faire quoi, de cette journée de lundi s'il n'arrive pas ce foutu fax ? Jouer encore à Mario Golf ? Partir une nouvelle fois en vacances ? M'abonner à un site de uc de plus, en faire le tour à toute vitesse, la queue dans la main, pour rechercher, encore une fois (cause perdue) cette photo ou cette séquence absolue qui serait la clé du monde et de toutes les douleurs ?
J'en sais rien et ça m'épuise.

* (pour ceux qui savent pas, l'ataraxie, c'est l'état que recherchaient les stoïciens et les épicuriens : l'état d'absence de douleur, d'absence de désirs inassouvis qui permet la philosophie.)

Allez hop, plus joyeux. Une de mes lectrices les plus chouettes et les plus assidues (vous avez souvent lu ses commentaires ici mais je vous dis pas qui c'est parce qu'elle m'a pas autorisé à le faire... Cherchez...) m'envoie une image d'elle pour alimenter mes récentes réactions sur l'obscénité. Bravo mamzelle !



Et, pour finir, Père François réagit à cette phrase :

"Quand on se dit « Hola, celui-là joue avec un truc sacré, il le sait parfaitement, où va-t-il, il me fait peur. », alors, on sort les ciseaux dare-dare."

John B Root, le roi du X et de la synthèse ! Je ne persifle pas, au contraire. En ce début de XXIe siècle, cette phrase du blog -74, s'applique aussi à tous les domaines du sacré autres que le sexe.
Jusqu'au années 70, toucher au sacré appelait automatiquement les ciseaux. Aujourd'hui, liberté convenue et profit oblige, on n'interdit plus. On se contente de rendre insignifiant.
Amitiés
François"


Yo.

//// bavé par |Reboot| @ 8/23/2004 11:25:43 AM

dimanche, août 22, 2004

-73. Hypocondriaque. 

Un peu d'hypocondrie, aujourd'hui. Un petit problème vestibulaire qui me met l'oreille interne gauche en rideau et me donne des vertiges. J'ai déjà eu ça une fois, cet hiver. Et si c'était, euh. une tumeur au cerveau ? Il y a dix jours, j'ai eu des crampes intercostales au côté gauche. Le cour ? Et cette douleur articulaire au poignet gauche ? Et. et. ? Et si j'étais tout pourri dedans ? Avec la vie que je mène, pas de sport, cigarettes et alcool. Pourtant, ma reum, à plus de 70 ans, elle fume et elle boit encore.
Bon, on respire par le ventre, fais pas ton Woody Allen, machin. C'est juste parce que tu bosses pas que tu te fais du mouron. Ca ira mieux demain.

Merci Beloukia et Wilfried pour vos derniers courriers sympas à propos de l'obscénité, de « Orgamus » qui passe actuellement sur une chaîne du câble, des stoïciens et des épicuriens.

Rencontré une chouette 'tite nana en casting hier. 21 ans, ingénue, craquante, bien dans sa peau. Comme elle était pas pressée, et moi non plus, j'ai pris le temps de lui faire des gentils portraits en noir et blanc. Elle est repartie avec, toute joyeuse. Bon, j'en ai marre, je les shoote quand, toutes ces admirables nouvelles ? Hein ?



(Je vous montre pas son joli minois parce qu'on n'a pas encore signé pour bosser ensemble.)


//// bavé par |Reboot| @ 8/22/2004 03:38:59 PM