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chronique légère, aphrodisiaque et digeste: écrite un jour pair, avec alcool.

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chronique que tu lis si tu veux mais que tu te plains pas d’avoir mal à la tête après: écrite un jour impair, avec alcool.

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vendredi, novembre 07, 2003

-339. Le goût de leurs baisers. 

V'là le gloubiboulga de samedi avec un jour d'avance parce que je pourrai pas poster demain.

Vous êtes un hétéro? Un mec un peu dans mon genre, fasciné par les filles, malheureux comme une pierre dès que l'une d'elles, un peu trop belle, un peu trop provocante vous croise dans la rue, vivant avec l'impression que les femmes sont un gâteau merveilleux dont vous n'obtiendrez jamais qu'une trop petite part ? Regardez cette photo.



De gauche à droite : Juliette, Melissa, Rosa et Dannie. Nues. Ironiques. Câlines. Sexuelles. Complices. Elles vous regardent comme elles regardent vraisemblablement leurs petits amis, leurs amants. Tout, dans leur attitude et leur sourire est une invitation à partager le plaisir charnel. « Tiens, dit Dannie avec ses yeux bleus, prends les seins de Rosa, suce-les ». Douloureux mensonge, illusion de bonheur. Tricheuses ! Ces quatre filles-là, vous ne les toucherez jamais. Jamais vous n'aurez leurs bras autour de votre corps, jamais vous ne connaîtrez l'odeur de leurs peaux, ni le goût de leurs baisers. Ce n'est même pas vous qu'elles regardent, elles ne vous connaissent pas. Elles posent, elles jouent pour elles-mêmes, elles regardent leurs propres reflets dans le miroir de l'objectif. Cette photo, c'est toute la beauté et la cruauté de la pornographie. Nous placer si près de l'objet du désir que l'on croit pouvoir le toucher et se perdre en lui, mais nous en repousser, nous en priver en nous renvoyant à notre identité de spectateur anonyme. Je vous rassure : celui qui fait la photo, moi en l'occurrence, en prend autant dans la g. que celui qui la regarde.

//// bavé par |Reboot| @ 11/7/2003 07:44:17 PM

-340. Oh Bog, Saint Patron des branleurs. 

Tiens, voilà un texte écrit un soir de blues, au début de l'année. Je vous rassure, je prends mes pilules bleues depuis et mon état s'est bien amélioré. Je tremble encore un peu mais j'ai arrêté de baver. :-)



« Sois sage, Ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille
Tu réclamais le soir, le voici, il descend
Une atmosphère obscure enveloppe la ville
Aux uns portant la paix, aux autres le tourment. »

Baudelaire

J'attends A. ce soir. Elle m'a promis sa soirée, et sans doute sa nuit. J'attends et j'ai peur. J'ai peur de la rater, de me rater, peur de la décevoir, peur d'être déçu, de me faire mal, de la blesser, de m'être trompé sur nous lorsque je lui ai fait comprendre que j'avais envie qu'elle reste pour une nuit. Avais-je vraiment envie d'elle, ou, plus égoïstement, avais-je seulement envie que cesse ma solitude pour un soir au moins ? Et aujourd'hui, ai-je véritablement envie de son corps musclé, des ses petits seins, de ses fesses rondes ? Etre seul m'est insupportable, c'est certain, la masturbation et l'alcool vont me rendre fou. Mais ne suis-je pas en train de nous abuser tous les deux en donnant une chance à cette rencontre ? Ne serais-je pas plutôt en train de la prendre pour une fille de joie ? Pour une chose ? Une prothèse ? Une image de plus ? Elle ne sait pas qui je suis. Je ne sais pas ce que j'attends. Un peu de compagnie, deux heures de sexe, une pause de tendresse, tomber amoureux ? Un moment, ou une vie entière dans ses bras ? Je veux quoi ? Je ne sais plus. C'est pour ça que j'ai peur.

Elle a 21 ans. Je ne la connais pas. Je sais qu'elle sort tous les soirs avec des amis que je n'ai pas envie de rencontrer ; qu'elle rentre au matin, joyeuse, surexcitée ; qu'elle dort toute la journée et qu'elle recommence la nuit suivante. Boule d'énergie. Elle est certaine que demain sera meilleur qu'aujourd'hui. J'ai exactement le double de son âge. Je travaille toute la journée, je rentre à vingt heures dans mon appartement désert. Je me ronge les ongles, je fume, je me masturbe en buvant du whisky devant mon ordinateur jusqu'à ce que s'éteigne en moi la dernière lueur d'intelligence, puis je me couche, vers minuit, pour recommencer le jour d'après. Demain je serai mort. Avons-nous une seule chance de nous plaire ?

A. ne sait pas qui je suis. Elle ne sait pas comme je suis devenu vieux, déçu, aigri, méchant, solitaire, onaniste, radoteur, angoissé, pervers, fragile et triste. Elle me prend pour l'image que j'ai appris à donner de moi : un type actif, drôle, tendre, généreux. C'est un beau masque, qu'il m'a fallu des années pour polir, mais que je serai obligé d'ôter ce soir.

J'ai dépassé quarante ans et je confonds tout. Dans ma tête, le bourbier est plus profond que jamais. Je confonds le X et le sexe, le sexe et l'image du sexe, l'image du sexe et l'amour, je prends mes actrices pour mes amoureuses, mes compagnes pour des actrices, ma caméra pour ma bite, ma bite pour un totem.

J'irai la chercher sur ma belle moto et je la conduirai dans un bon restaurant. Deux heures de gagnées. J'espère que je trouverai des sujets de conversation qui l'amuseront. Puis nous gagnerons l'appartement en interprétant la comédie des amoureux : la main dans la main, les caresses, les baisers, pour tenter de nous convaincre que nous avons envie l'un de l'autre. Je jouerai au piano les deux ou trois morceaux que je connais. J'ai remarqué qu'elle aimait ça. Et puis ensuite. un bain, le lit. Je tenterai d'être léger ce soir. Offert. Hors de moi-même, pour une fois.

J'ai voulu conquérir la légèreté et je suis lourd. Lourd et sombre comme un vaisseau fantôme. Oh, Bog, Saint Patron des branleurs et des insatisfaits, lâche-moi pour un soir, laisse-moi seulement cette nuit ! Permets-moi de vivre cette aventure-là et je te promets que je te livrerai des films plus beaux encore, des cassettes qui célèbreront l'amour physique et la joie, des étreintes éternelles, des bacchanales merveilleuses, des moments de plaisir volés au paradis originel, avant la pomme, avant la faute, avant la douleur, des vidéos qui consoleront à leur tour les amants malheureux, les amoureux autistes et tous les solitaires perdus dans la lumière bleue de leurs écrans d'ordinateur.
Lâche-moi, ce soir !



" Hé, Jean, arrête tes conneries et embrasse-moi!"

//// bavé par |Reboot| @ 11/7/2003 11:12:52 AM

jeudi, novembre 06, 2003

-341. Autocensure!!! 

« Salut Reboot,
C'est quoi cette auto-censure minable ? Le blog entre en conflit avec l'activité commerciale ? Tu vas pas nous faire une "zone membres" au moins ?
Lo »


J'ai censuré mon gloubiboulga. J'ai moi-même, délibérément, masqué d'un « X » rouge toutes les parties génitales sur les photos. Rien à voir avec un conflit commercial avec mes sites. Je vous jure que cette autocensure me met en rage. Je voulais que cet endroit soit aussi libre et politiquement incorrect que possible. Mais... j'ai réfléchi. L'internet aujourd'hui n'offre aucune méthode valable pour filtrer les mineurs. Le contrôle d'accès des navigateurs ne suffit pas. Beaucoup d'adultes ne savent même pas qu'il existe. Un : l'idée que je puisse traumatiser un gosse de neuf ans avec les images de cette page m'est intolérable. Deux : En tant que professionnel du trou de balle connu, je suis en première ligne pour les coups de pieds au derrière. En l'état actuel de la loi en France, si j'étais assigné au tribunal par une association de culs serrés quelconque, je n'aurais aucune chance de m'en sortir, et je n'ai aucune intention de faire un cadeau aux cons. Trois : en tant que vendeur de sexe sur le web, je me dois de montrer l'exemple. Ce blog n'offre aucun contrôle d'accès. J'aurais pu vous demander votre numéro de carte bleue, votre numéro de sécurité sociale, une autorisation signée de vos parents avant de vous laisser entrer. Trop lourd, trop chiant. J'ai renoncé. Ce blog est donc, comme les parties visiteurs de mes sites, une zone non protégée dans laquelle je ne peux pas montrer de pornographie. Oh ! Ca me fait mal aux c... (censuré)!



"Derrière chaque censeur, il y a une partouze qui sommeille"
Francis Leroi. Rêves de cuir II

//// bavé par |Reboot| @ 11/6/2003 11:23:49 AM

mercredi, novembre 05, 2003

-342. Crachats et grandes tartes. 

Reçu ça ce matin:
Salouté
Tiens, justement, puisque tu abordes le sujet si la télévision et les programmes classiques s'érotisent, tu ne penses pas que l'effet inverse pourrait se produire dans le porno ? Je veux dire, s'il y a 5 ans, l'idée même du fist fucking révoltait bien des personnes, c'est très loin d'être le cas maintenant, du coup, un peu comme pour la trash tv et des émissions comme « scrupules » un certain nombre de pornos vont de plus en plus loin avec le bukkake, les doubles anales et autre « gag throat » ponctués de crachats et de grandes tartes, et si l'on suit l'exemple du fist, toutes ces pratiques auront peut être tendance à se banaliser, et donc à pousser les auteurs à trouver encore plus gore/trash/excitant (suivant le point de vue). Jusqu'à un point ou il sera impossible d'aller plus loin sans violer des lois ou les intégrités physiques des personnes (ce qui est certes déjà le cas pour certaine prods.), et que donc justement, un peu comme un obèse s'étant dégoûté de la nourriture à en avoir trop mangé, le porno pourrait revenir à des choses classiques ? genre simple couple sans vraiment de sodo ou facial mais avec une histoire pour érotiser le tout ?




Delfynn Delage aime les pratiques extrèmes.

- Papa, est-ce que l'amour, c'est sale?
- Oui, quand c'est bien fait.
Woody Allen


Hola hola, ne mélangeons pas tout. Un, j'ai souvent entendu cet argument du « durcissement » des pratiques dans les vidéos X. Je ne pense pas qu'il soit fondé. On fiste, on sodomise, on éjacbucalise, on gangbangue dans le porno de sex-shops depuis des années. C'est normal et c'est nécessaire. Thérapeutique, même. Le spectacle filmé de ces pratiques est une catharsis bien plus inoffensive que le moindre passage à l'acte. Je ne pense pas, de toute façon, que le porno puisse aller plus loin. Il y a des limites physiologiques qu'aucun producteur de X ne franchira car aucun producteur de X n'a envie de se retrouver en cours d'assise. Les snuff movies et l'affaire Dutroux sont des faits divers criminels, pas des phénomènes de société. Enfin, la notion même d' « extrême » est bien floue. Je suis un gentil garçon très respectueux de mes acteurs et actrices, mais chez moi on pisse, on se fiste, on se dilate avec des pénétrations extrêmes. C'est la raison d'être du X de donner à voir des pratiques exceptionnelles. Si vous regardez un championnat de gymnastique à la télé, vous vous attendez à voir des triples saltos et vous seriez très déçu de ne voir que des galipettes ordinaires. Pour moi, tant qu'elles sont faites avec plaisir, toute les pratiques sont recevables. Deux. Ce porno-là est marginal. Il faut le chercher pour le trouver, soit sur le net, soit en sex-shop. Ce n'est pas celui dont nous parlions hier car il n'a aucune chance de devenir consensuel et de sortir de son ghetto. Le porno cinéphilique, aphrodisiaque, intelligent et joyeux dont j'espère la naissance mettra forcément en scène des pratiques beaucoup plus modérées, des sentiments, des personnages. Et oui, des histoires.



Du sexe plus consensuel...(Adrianna et Seb dans "Xperiment")

//// bavé par |Reboot| @ 11/5/2003 12:58:18 PM

mardi, novembre 04, 2003

-343. Le bon argent du sexe 

J'ai reçu ça en commentaire de mon post d'hier:

« salut ami porno-graphe,
Je discutais du même sujet avec des amis il y a deux jours. Je prétends qu'il y a un public pour le cinéma traditionnel avec de vrais morceaux de bites dedans. Du cul bien filmé, uniquement pour servir le scénario. Et pas forcément du Lars Van Trier, du cinéma accessible et divertissant, que tout adulte serait susceptible d'apprécier. Pas "baise-moi" ou "le pornographe", pas du cul comme argument de marketing. Du cul vivant et à sa place dans un tout cohérent.
J'imagine que vos maisons de production n'ont pas les budgets pour réaliser du cinéma traditionnel. Mais les producteurs traditionnels pourraient se le permettre sans aucun problème. Alors d'où vient le blocage ? Puritanisme des maisons de production ou pas de marché potentiel ?
Merci de m'éclairer, j'ai misé une bouteille de Glenlivet sur ma thèse, j'attends la réponse d'un expert.
En passant, a quand une adaptation de Venus Erotica avec des décors qui tuent, du texte et de bonnes scènes de baise ?
A+,
Lo
»



Ally à Cannes. Le sexe a du succès...

Bon d'accord, je veux bien intervenir, mais, dans ce cas, je veux aussi une bouteille de Glenlivet. Hé hé ! En fait, on est ici, dans ce débat sur le sexe au cinéma et le cinéma avec des couilles (ou des ovaires) au cour de ma névrose. Si j'ai cru, il y a bientôt dix ans, que c'était une bonne idée de faire le biroute, c'est que je pensais dur comme fer que le sexe était un terrain de jeu merveilleux et quasiment inexploré pour raconter des histoires, faire rire, faire vibrer, en conciliant la tête et les bas morceaux. J'avais dix-huit ans quand les premiers pornos sont sortis en salles. J'ai cru alors qu'un genre nouveau était en train de naître. Mais la greffe n'a pas pris à l'époque. Prendra-t-elle aujourd'hui ? Difficile de prédire. Au cinéma je n'y crois pas trop. En dehors de quelques courageux petits circuits indépendants, je ne vois pas qui pourrait prendre le risque d'une interdiction aux moins de dix huit ans ou d'un X. A la télé peut-être, et c'est plutôt sur ce terrain-là que je me battrais. Il faut moins d'argent pour faire un film de télé qu'un film de cinoche. Toutes les chaînes de la planète cherchent à érotiser leurs programmes ; à nous de leur proposer des films qui vaillent le coup.
Le blocage aujourd'hui est autant économique que moral. Mais la morale. On sait bien que dès qu'une chose est rentable elle obtient le droit d'exister ipso facto dans notre belle société mercenaire. Le jour où un groupe de communication gagnera du bon argent avec un programme sexué de qualité, " Venus Erotica" ou un autre, tout le monde suivra. Crois-moi, Lo, je bosse dur pour gagner ce pari-là !



Ally et Mathilda. Plaisir!
//// bavé par |Reboot| @ 11/4/2003 03:49:25 PM

lundi, novembre 03, 2003

-344. La beauté française 

Tiens. Parler de Mathilda m'a remis de bonne humeur et donné envie de me replonger dans « French Beauty ». Pour ce film-là, j'avais décidé, une fois n'est pas coutume, de m'amuser avec une vraie histoire, une comédie sociale vaguement politiquement incorrecte. FB était en fait un hommage à « Théorème » de Pasolini. Sauf que là, c'est une fille qui dynamitait sexuellement une famille bourgeoise très française. Je me disais, après le petit succès critique de « XYZ », que l'époque était sans doute mûre pour du porno avec scénario. Hé hé. innocent ! Ce film m'a valu plein d'ennuis avec mes distributeurs étrangers ( surtout allemands) qui l'ont trouvé bavard, beaucoup trop compliqué, trop peu conforme à la norme pornographique standard donc, invendable. Depuis French Beauty, je passe auprès des professionnels du X international pour un franc-tireur irresponsable incapable de se conformer aux règles du marché. Règles du marché ? Vous savez ce que c'est, les règles du marché, aux yeux de ces grossistes-là ? Des vidéos calibrées comme des oufs, sans scénarii, uniquement décoratives et ne racontant rien. On est bien loin des années 70 où des Kikoïne, Damiano, Lansac, Leroi, Dark poussaient le genre vers le cinoche. Mais on va y revenir. C'est gros comme une maison. Un genre nouveau est en train de naître : le film avec des couilles. Youpi !

Vous m'avez dit qu vous aimiez bien que je mette de la vidéo su ce gloubiboulga. Voilà la bande annonce de French Beauty Eloignez vos enfants du poste, svp!



Ally et Akira en pucelles... On n'y croit pas vraiment...
//// bavé par |Reboot| @ 11/3/2003 03:38:23 PM

dimanche, novembre 02, 2003

-345. Work alcoholic 

Workalcoholic. Alcoolique du boulot, drogué, dépendant. Vous connaissez ? Depuis huit ans, je donne tout à ma boîte, mon temps, mon travail, mon enthousiasme, mes pulsions sexuelles, mon intimité. Du dimanche au dimanche, douze heures par jour, fidèle au poste, comme un bon chien stupide. Oubliez mon numéro de portable. Quelque soit l'heure, quelque soit le jour, si vous voulez me parler, appelez au bureau. Je ne lis plus, je ne vais plus au cinéma, ni au théâtre, ni à aucune soirée. Hors de mon boulot je suis à la dérive et rien ne m'intéresse. Je suis si enfoncé dans cet état de choses que même ma vie sexuelle privée doit prendre les apparences d'une expérience professionnelle pour subsister. Bander sans qu'une caméra ou un appareil photo en témoigne relève de la gageure. Je ne parviens à coucher qu'avec des images ; les femmes réelles m'inquiètent, je n'en comprends plus le fonctionnement.
Est-ce que John B Root est si méchant qu'il a décidé de tuer Jean Guilloré ou bien Jean Guilloré est-il si mal dans le monde qu'il ne trouve d'autre solution que de se cacher dans la grotte de John ? Les deux assertions sont vraies. Jusqu'ici, pour me justifier, j'utilisais l'alibi de l'urgence. Il fallait que ma boîte survive et prospère ; j'en étais le responsable, mon devoir était de me sacrifier. Cette excuse ne tient plus. Ma boîte va mieux, je peux commencer à déléguer, à me dégager et recommencer à vivre par et pour moi-même. Alors ? Ducon, t'attends qu'il pleuve ?



Alors ? Ducon, t'attends qu'il pleuve ?
//// bavé par |Reboot| @ 11/2/2003 02:47:46 PM