chronique légère, aphrodisiaque et digeste:
écrite un jour pair, avec alcool.
chronique
légère, aphrodisiaque et digeste: écrite
un jour pair, sans alcool.
chronique que
tu lis si tu veux mais que tu te plains pas d’avoir
mal à la tête après: écrite
un jour impair, avec alcool.
chronique que tu lis si tu veux mais que tu te plains
pas d’avoir mal à la tête après:
écrite un jour impair, sans alcool.samedi, décembre 13, 2003
François et les féministes.
Réaction de l'excellent F. à propos du lien d'hier vers les féministes canadiennes anti-porno.
Et voilà !
Après les réacs de droite, voilà les réacs de gauche.
Après la défense de la famille, voilà celle des droits de l'homme (oups pardon, de la personne humaine. "de l'homme" c'est sexiste y parait). Après la dénonciation du complot judéo-marxiste, voici celle de l'industrie aliénante et exploiteuse. Et toujours les mêmes amalgames : le porno mène au viol et à la pédophilie. Vous violez des petites filles, vous ? Et toujours les mêmes jugements: nous somme tous des pervers méprisant les femmes. Et en faire des victimes incapables de faire des choix, c'est pas du mépris peut-être ? Et toujours l'argument du fric: le porno brasse des milliards. Pas toujours vrai mais admettons : Larry Flynt est richissime mais Bill Gates l'est infiniment plus. Vous voulez interdire l'informatique ? Et si le porno était fait par des bénévoles, vous l'approuveriez ? (Tiens ça c'est une idée: si on faisait "les Restos du Cul" ?)
Merde alors ! Marre de ces conneries ! Pornophiles de tout les pays, unissez vous.! Debout les damnés de la baise... !!!
Bon, j'me calme.
Plus que la défense du porno, c'est la défense du plaisir qui est en jeu. Le plaisir simple, accessible, ludique, naturel, carrément bio ! Vous avez dit "animal" ? Et alors ? Nous avons 95 % de gênes en commun avec les orang-outang ! Et les bonobos, hein ? Ces "animaux" qui règlent leurs conflits en s'envoyant en l'air à longueur de journée et qui, du coup, ne se battent quasiment jamais ! T'imagines, Saddam faisant une turlute à Bush pour le calmer ? Des milliers de morts en moins et des milliards de dollars économisés !
Alors oui, je revendique ma part d'animalité. Et que ceux qui ne baisent qu'avec de purs esprits lèvent le doigt !
Ouais, je vois que j'me suis pas vraiment calmé. Mais bon, y me gavent, ces cons !
Amitiés
François"
"Moi, 95% de gênes en commun avec les humains ? Beurk !"
Et voilà !
Après les réacs de droite, voilà les réacs de gauche.
Après la défense de la famille, voilà celle des droits de l'homme (oups pardon, de la personne humaine. "de l'homme" c'est sexiste y parait). Après la dénonciation du complot judéo-marxiste, voici celle de l'industrie aliénante et exploiteuse. Et toujours les mêmes amalgames : le porno mène au viol et à la pédophilie. Vous violez des petites filles, vous ? Et toujours les mêmes jugements: nous somme tous des pervers méprisant les femmes. Et en faire des victimes incapables de faire des choix, c'est pas du mépris peut-être ? Et toujours l'argument du fric: le porno brasse des milliards. Pas toujours vrai mais admettons : Larry Flynt est richissime mais Bill Gates l'est infiniment plus. Vous voulez interdire l'informatique ? Et si le porno était fait par des bénévoles, vous l'approuveriez ? (Tiens ça c'est une idée: si on faisait "les Restos du Cul" ?)
Merde alors ! Marre de ces conneries ! Pornophiles de tout les pays, unissez vous.! Debout les damnés de la baise... !!!
Bon, j'me calme.
Plus que la défense du porno, c'est la défense du plaisir qui est en jeu. Le plaisir simple, accessible, ludique, naturel, carrément bio ! Vous avez dit "animal" ? Et alors ? Nous avons 95 % de gênes en commun avec les orang-outang ! Et les bonobos, hein ? Ces "animaux" qui règlent leurs conflits en s'envoyant en l'air à longueur de journée et qui, du coup, ne se battent quasiment jamais ! T'imagines, Saddam faisant une turlute à Bush pour le calmer ? Des milliers de morts en moins et des milliards de dollars économisés !
Alors oui, je revendique ma part d'animalité. Et que ceux qui ne baisent qu'avec de purs esprits lèvent le doigt !
Ouais, je vois que j'me suis pas vraiment calmé. Mais bon, y me gavent, ces cons !
Amitiés
François"
"Moi, 95% de gênes en commun avec les humains ? Beurk !"
-300. Pauvre misérable con.
Blues du week-end, premier épisode. Ca faisait trop longtemps que je ne publiais que des gloubiboulgas "jours pairs" ici. Un bon gros coup de baudelairite me fera du bien. Ca vous étonne pas que je poste même le samedi, même le dimanche ? Ca vous raconte pas un petit quelque chose sur le bonhomme, ça ? Du dimanche au dimanche, assis derrière un ordinateur au boulot. Pauvre misérable con. Ce week-end, je suis enchaîné à la fin du montage du film de Titof. Fred et moi, on va encore bosser jusqu'à des pas d'heures. Ma boîte me tue. Ma boîte me prend tout. Ma boîte me rend triste et méchant. J'en ai plus qu'assez de me sacrifier. J'ai besoin de m'asseoir, de poser mon sac. J'ai besoin d'amour. Je rêve qu'une femme sorte de la nuit, s'approche de moi, me dise, « je te connais, je te cherchais, viens ». Je me lèverais, on se serrerait très fort l'un contre l'autre et on partirait dans la ville pour vivre notre amour tout neuf. Les rues seraient pleines de lumière. Je me mettrais à pleurer. Enfin.
Je m'en irai pensant
C'est la faute au courant
Qui m'a cueilli mouillé
Et rond et transparent
Je m'en irai pleurer
Comme pleure un torrent
Des larmes sans douleur
Et douces, infiniment
Tiffany la bouleversante. Sans doute la fille que j'ai eu le plus de plaisir à filmer et photographier...
Je m'en irai pensant
C'est la faute au courant
Qui m'a cueilli mouillé
Et rond et transparent
Je m'en irai pleurer
Comme pleure un torrent
Des larmes sans douleur
Et douces, infiniment
Tiffany la bouleversante. Sans doute la fille que j'ai eu le plus de plaisir à filmer et photographier...
vendredi, décembre 12, 2003
-301. Mâle actif vs Femelle passive.
Vous avez été bien élevé(e), vous ? Pas moi. Moi, quand j'étais petit garçon, ma maman me formatait pour que je devienne un HOMME. Un homme, pour elle et pour la grande majorité des mères de sa génération, c'était quoi ? Un mâle hétérosexuel actif. Bande, mon fils, me faisait-elle comprendre, perfore les filles, sois un Dom Juan, une épée, un père, un patron, un phallus. Tu es un roi, Jean, ton sceptre se trouve dans ta culotte. Et aux filles, on dit quoi, encore aujourd'hui ? On les prépare à devenir des FEMMES. Des femelles hétéro passives, rondes, dociles, maternelles, discrètes... Criminelle bêtise héritée des siècles passés. Ce modèle continue de faire du mal à des générations d'adultes.
Combien d'hommes essaient-ils en vain de s'y conformer, de baiser leur femme avec virilité, de ressembler, sans y prendre aucun plaisir, à un marteau pneumatique et de racler avec autorité le vagin indifférent de leur épouse ? Viagra, saintes putes, venez au secours de ces hommes-là, ils souffrent d'une erreur de casting. Pour se sauver du doute et se conforter dans leur identité de dominant, ils regardent des pornos. Mais le spectacle qu'ils y trouvent (des supermâles en train de superlimer des superbonnesalopes avec leurs supergrossesbites pendant superlongtemps) achève de les déprimer en les renvoyant à leur insuffisance.
Combien de femmes s'ennuient-elles sous les coups de bites trop mécaniques et trop distants de leurs mauvais acteurs de maris et se résignent-elles peu à peu, de guerre lasse, à devoir dissocier devoir conjugal (quel mot significatif : « devoir » !) et plaisir. Horreur et damnation ! Etonnez-vous après ça que les hommes soient si friands de branlettes et d'alcools forts et que les femmes aiment tant les pommeaux de douche et les anti-dépresseurs. Alors que (et les homosexuels le savent depuis toujours...) il y a plus de.
Non, la suite demain, réagissez déjà à ce gloubiboulga-là. Je préfère les échanges aux monologues.
Un indice se cache dans cette photo. Le trouvez-vous ?
Les anti-porno et les anti-plaisir. Rapport n° 898546789989765567898999....... ffff. Grosse fatigue. On vient de m'envoyer ce lien :
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=801
C'est un site de féministes. Voici la conclusion de leur prose sur la pornographie:
"La pornographie est une industrie à la poursuite de fantasmes et de névroses. La pornographie ne dérange pas l'ordre social, elle ne fait que le renforcer ; elle intensifie plus particulièrement l'ordre marchand et l'ordre sexiste."
J'adore les féministes quand elles se chargent de lutter pour l'égalité professionnelle, contre les exciseurs et les marieurs de gamines de douze ans. Mais, oh, comme elles sont bêtes quand elles se livrent à une charge anti porno comme celle-ci. Vous confondez tout, les nanas, vous amalgamez tout ; le plaisir vous fait peur. Vous n'avez vraiment rien compris, alors ? Arrêtez de jouer le jeu des intégristes, ça vous retombera sur la gueule. Vous aurez l'air vachement libérées quand on vous aura mis un tchador !
Combien d'hommes essaient-ils en vain de s'y conformer, de baiser leur femme avec virilité, de ressembler, sans y prendre aucun plaisir, à un marteau pneumatique et de racler avec autorité le vagin indifférent de leur épouse ? Viagra, saintes putes, venez au secours de ces hommes-là, ils souffrent d'une erreur de casting. Pour se sauver du doute et se conforter dans leur identité de dominant, ils regardent des pornos. Mais le spectacle qu'ils y trouvent (des supermâles en train de superlimer des superbonnesalopes avec leurs supergrossesbites pendant superlongtemps) achève de les déprimer en les renvoyant à leur insuffisance.
Combien de femmes s'ennuient-elles sous les coups de bites trop mécaniques et trop distants de leurs mauvais acteurs de maris et se résignent-elles peu à peu, de guerre lasse, à devoir dissocier devoir conjugal (quel mot significatif : « devoir » !) et plaisir. Horreur et damnation ! Etonnez-vous après ça que les hommes soient si friands de branlettes et d'alcools forts et que les femmes aiment tant les pommeaux de douche et les anti-dépresseurs. Alors que (et les homosexuels le savent depuis toujours...) il y a plus de.
Non, la suite demain, réagissez déjà à ce gloubiboulga-là. Je préfère les échanges aux monologues.
Un indice se cache dans cette photo. Le trouvez-vous ?
Les anti-porno et les anti-plaisir. Rapport n° 898546789989765567898999....... ffff. Grosse fatigue. On vient de m'envoyer ce lien :
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=801
C'est un site de féministes. Voici la conclusion de leur prose sur la pornographie:
"La pornographie est une industrie à la poursuite de fantasmes et de névroses. La pornographie ne dérange pas l'ordre social, elle ne fait que le renforcer ; elle intensifie plus particulièrement l'ordre marchand et l'ordre sexiste."
J'adore les féministes quand elles se chargent de lutter pour l'égalité professionnelle, contre les exciseurs et les marieurs de gamines de douze ans. Mais, oh, comme elles sont bêtes quand elles se livrent à une charge anti porno comme celle-ci. Vous confondez tout, les nanas, vous amalgamez tout ; le plaisir vous fait peur. Vous n'avez vraiment rien compris, alors ? Arrêtez de jouer le jeu des intégristes, ça vous retombera sur la gueule. Vous aurez l'air vachement libérées quand on vous aura mis un tchador !
-302. A.W. de Los Angeles
A.W. habite à Los Angeles, elle est musicienne et veut devenir scénariste. Elle m'envoie des photos d'elle. Elle écrit :
" [...] J'aime beaucoup votre blog, et pour deux raisons en générale: 1. il m'aide à pratiquer la langue française, et 2. les histoires sont incroyablement belles. je doit presque toujours me masturber après les avoir lues. C'est tout pour maintenant. j'espère que vous aimerez -- au moins un peu -- mes photos stupides. je n'en pouvais
pas choisir seulement une. peut-être que je suis plus narcissistique que je pense.
Merci beaucoup pour tout,
a.w."
Tu es géniale, a.w. Merci !
J'adore cette nouvelle rubrique! Allez, les nanas, à vos appareils photos, j'attends vos envois.
" [...] J'aime beaucoup votre blog, et pour deux raisons en générale: 1. il m'aide à pratiquer la langue française, et 2. les histoires sont incroyablement belles. je doit presque toujours me masturber après les avoir lues. C'est tout pour maintenant. j'espère que vous aimerez -- au moins un peu -- mes photos stupides. je n'en pouvais
pas choisir seulement une. peut-être que je suis plus narcissistique que je pense.
Merci beaucoup pour tout,
a.w."
Tu es géniale, a.w. Merci !
J'adore cette nouvelle rubrique! Allez, les nanas, à vos appareils photos, j'attends vos envois.
jeudi, décembre 11, 2003
Des trucs en vrac...
Un des mes plus chers lecteurs et amis, P.L. vient de me transmettre un lien intéressant vers les confessions de Saibel, un vieux monsieur Suisse qui raconte comment il s'est battu toute sa vie pour sauvegarder son équilibre mental alors qu'il était "une simple petite pédale de tout ce qui est de plus ordinaire et de plus banale" et "victime de la subjugation religieuse", donc terrifié par le pêché et l'enfer. C'est bizzarement écrit, plein d'approximations (ce monsieur est certainement un autodidacte) mais tout à fait passionnant et touchant. Je vous en mets un bout ici.
" Un jour je lui dis : - Ecoutez frère Pierre. J'aimerais terminer une fois pour toujours avec cette sale histoire. Je vais donc au bordel, pour m'habituer aux femmes. - Oh, non mon frère, on ne peut pas vaincre un péché par un autre péché! - Mais, j'ai dis, cela ne tien pas debout. Je suis déjà damné, n'est pas? Alors je préfère que la colère du Seigneur tombe sur moi pendant que je suis au bordel, plutôt que pendant que je me trouve dans un parc avec une queue enfoncée dans le cul! Moi je me trouve dans un lac, je risque de me noyer et toi tu me dis de ne pas sortir du lac, car il pleut et en sortant, je vais me mouiller, c'est con, non?"
http://www.gayromandie.ch/reflexion/confessions/
Un autre fidèle lecteur, Maurice, m'envoie un lien vers Libé et un article sur le durcissement de la commision de censure. Ils continuent à grignoter du terrain dans l'ombre. A l'aide!!!!
http://www.liberation.com/page.php?Article=164463
Un autre lecteur, T., réagit à cette même info :
"Salut John,
Ils continuent tranquillement leur travail de sape. Quand la droite est revenue au pouvoir, un des premiers décrets qu'elle a pondu était la modification du fonctionnement d'une commission sur l'éducation sexuelle : en gros, elle a viré les associations militantes type planning famillial ou assos gays et lesbiennes pour les remplacer par des bons français : Famille de France, ou associations militant contre l'avortement. Moi, je vais demander l'asile politique à la Suède...
Bonne journée quand même,
t"
Enfin, A. une lectrice qui m'adore, même si elle refuse que je publie ici une photo d'elle nue parce qu'elle dit qu'elle n'est pas jolie, ce qui est absolument faux comme j'ai pu le constater sur une photo d'elle en blouse blanche qu'elle a eu le culot de me transmettre pour m'énerver, m'a envoyé un texte romancé d'une grande beauté et d'une grande tristesse. T'as vraiment du style, A. Je peux publier ta nouvelle ici? Bisous.
Ca m'a donné une idée, cette affaire de photo nue d'A. Les nanas qui lisez ce gloubiboulga, envoyez-moi des photos nues de vous. Je les publierai ici. Ce sera la rubrique : "LES LECTRICES D'INKORREKT.COM SONT DES NANAS GENIALES." J'attends vos photos.
Et puis... (Oh là là, aujourd'hui, y'en a, des infos!) Et puis Klute vient de me transmettre un article de Courrier International sur l'invention de la machine à orgasmes automatiques pour femmes. Ca y'est l'Orgasmotron existe ! (Déjà que nous, les mecs, on servait plus à grand chose... maintenant, on ne sert vraiment à plus rien du tout.) "V'lan !" fait la porte de la chambre à coucher en se refermant sur notre nez.
http://www.courrierinternational.com/mag/rvinso.htm
" Un jour je lui dis : - Ecoutez frère Pierre. J'aimerais terminer une fois pour toujours avec cette sale histoire. Je vais donc au bordel, pour m'habituer aux femmes. - Oh, non mon frère, on ne peut pas vaincre un péché par un autre péché! - Mais, j'ai dis, cela ne tien pas debout. Je suis déjà damné, n'est pas? Alors je préfère que la colère du Seigneur tombe sur moi pendant que je suis au bordel, plutôt que pendant que je me trouve dans un parc avec une queue enfoncée dans le cul! Moi je me trouve dans un lac, je risque de me noyer et toi tu me dis de ne pas sortir du lac, car il pleut et en sortant, je vais me mouiller, c'est con, non?"
http://www.gayromandie.ch/reflexion/confessions/
Un autre fidèle lecteur, Maurice, m'envoie un lien vers Libé et un article sur le durcissement de la commision de censure. Ils continuent à grignoter du terrain dans l'ombre. A l'aide!!!!
http://www.liberation.com/page.php?Article=164463
Un autre lecteur, T., réagit à cette même info :
"Salut John,
Ils continuent tranquillement leur travail de sape. Quand la droite est revenue au pouvoir, un des premiers décrets qu'elle a pondu était la modification du fonctionnement d'une commission sur l'éducation sexuelle : en gros, elle a viré les associations militantes type planning famillial ou assos gays et lesbiennes pour les remplacer par des bons français : Famille de France, ou associations militant contre l'avortement. Moi, je vais demander l'asile politique à la Suède...
Bonne journée quand même,
t"
Enfin, A. une lectrice qui m'adore, même si elle refuse que je publie ici une photo d'elle nue parce qu'elle dit qu'elle n'est pas jolie, ce qui est absolument faux comme j'ai pu le constater sur une photo d'elle en blouse blanche qu'elle a eu le culot de me transmettre pour m'énerver, m'a envoyé un texte romancé d'une grande beauté et d'une grande tristesse. T'as vraiment du style, A. Je peux publier ta nouvelle ici? Bisous.
Ca m'a donné une idée, cette affaire de photo nue d'A. Les nanas qui lisez ce gloubiboulga, envoyez-moi des photos nues de vous. Je les publierai ici. Ce sera la rubrique : "LES LECTRICES D'INKORREKT.COM SONT DES NANAS GENIALES." J'attends vos photos.
Et puis... (Oh là là, aujourd'hui, y'en a, des infos!) Et puis Klute vient de me transmettre un article de Courrier International sur l'invention de la machine à orgasmes automatiques pour femmes. Ca y'est l'Orgasmotron existe ! (Déjà que nous, les mecs, on servait plus à grand chose... maintenant, on ne sert vraiment à plus rien du tout.) "V'lan !" fait la porte de la chambre à coucher en se refermant sur notre nez.
http://www.courrierinternational.com/mag/rvinso.htm
-303. Tu n'es pas un Dom Juan, tu es un petit con
« J'étais encore puceau et j'en avais honte. Je mentais aux copains, j'inventais des histoires de relations avec des filles somptueuses pendant les vacances, des histoires de baise dans un autocar avec une correspondante anglaise, même une histoire avec une prostituée en Tunisie. Des vrais romans. La vérité c'est que j'avais une peur bleue des filles. Un soir, après un dîner chez des copains, je suis rentré à la maison et il y avait Rebecca, la baby-sitter qui était allongée sur le canapé du salon, en train de regarder un porno à la télévision. Rebecca était une étudiante à la fac. Elle m'intimidait. D'abord parce qu'elle avait quatre ans de plus que moi, ensuite parce qu'elle était très belle et très provocante. C'était une grande Danoise blonde, avec des lunettes. Toujours habillée sexy, avec un accent adorable. Ce soir-là, elle devait sortir de la baignoire, elle avait juste une serviette enroulée autour du corps. J'ai voulu monter dans ma chambre mais c'est elle qui m'a demandé de m'asseoir à côté d'elle pour bavarder un peu. On a parlé. Je sais pas ce que j'ai pu lui raconter. Son corps presque nu si près du mien et les images du porno à la télé en même temps, ça me rendait stupide. Elle, elle savait parfaitement l'effet qu'elle produisait sur moi et je pense que ça l'amusait. Elle m'a posé des questions sur ma vie amoureuse et je lui ai sorti les mêmes histoires qu'aux copains. Elle a paru trouver ça intéressant et elle m'a dit que j'étais un vrai Dom Juan. Alors, lentement, elle a laissé sa main glisser sous la serviette et elle s'est caressée en me regardant. Elle m'a dit qu'elle faisait ça souvent en regardant des pornos à la télé et elle m'a demandé de faire pareil. J'ai baissé mon pantalon, elle s'est rapproché de moi et elle m'a regardé tout en se caressant. Je suis devenu dur aussitôt. Elle a fait glisser sa serviette, elle s'est allongée sur le dos, jambes écartées et elle m'a dit, avec son joli accent traînant « baise-moi ». Je me suis mis à genoux entre ses jambes, j'avais le sang qui battait dans mes tempes, je regardais ses gros seins ronds et blancs, sa chatte rasée comme celle d'un bébé. Elle a avancé sa main, elle a pris mes couilles entre ses doigts. Elle a juste dit « Viens ». et j'ai éjaculé sur son ventre. Comme ça, d'un coup, sans même avoir eu le temps de la pénétrer, juste à cause du contact de ses doigts sur mes couilles. La honte, la honte, la honte. Oh, j'en aurais pleuré ! Elle m'a regardé avec mépris, elle a refermé sa serviette. Elle a encore dit « tu n'es pas un Dom Juan, tu es un petit con. » Et puis elle est partie à la salle de bains se laver. Moi je suis monté dans ma chambre avec des envies de suicide. Ca a été ma première expérience sexuelle. »
Derewella, somptueuse... (Qu'est-ce que c'est beau, une fille !)
Derewella, somptueuse... (Qu'est-ce que c'est beau, une fille !)
mercredi, décembre 10, 2003
-303. Litanie.
Homo, JE, sadique, pervers, JE, voyeur, passif, VOUDRAIS, soumise, CHERCHE, lesbienne, SEULEMENT, nymphomane, hétéro, JUSTE, actif, sodomite, ETRE, active, dominante, UN, onaniste, A ETRE, exhibitionniste, HOMME, impuissant, frigide, cérébral, UNE, cérébrale, échangiste, infidèle, PARFOIS, dragueur, insatisfaite, branleuse, branleur, FEMME, allumeuse, dom juan, collectionneur, cul serré, hystérique, HEUREUX, obsédé, bite molle, HEUREUSE, Sainte Nitouche !
Vous croyez que c'est possible?.
A part ça? Euh. Ca :
N'a pu. Hier, j'ai eu à nouveau deux mains.
Merci, l'assistance publique ! (Audrey, j'attends ta photo)
Vous croyez que c'est possible?.
A part ça? Euh. Ca :
N'a pu. Hier, j'ai eu à nouveau deux mains.
Merci, l'assistance publique ! (Audrey, j'attends ta photo)
lundi, décembre 08, 2003
-304. Des intenses scènes de cul rimbaldiennes.
Le blog de mardi avec un jour d'avance. Mardi, on m'enlève mon plâtre et - j'espère - mes broches. Je vais retrouver ma main droite !!! Chouette ! Comme, entre-temps, j'ai un peu appris à me servir de la gauche, je vais pouvoir me branler à deux mains, maintenant. Ma vie est d'une incroyable richesse.
Ksandra, Ovidie, Valérie, Titof.
Voici encore un documentaire. C'est le making of de XYZ. Un making of de 26 minutes, un peu bâclé, fait de bouts de ficelle et de coups de caméra donnés un peu au hasard. Mais pas totalement inintéressant. Parce que XYZ était un projet intéressant. Le film (je l'ai tourné en 2001, je crois) m'avait été inspiré par le couple Titof Ksandra, leurs relations tumultueuses, leurs engueulades et les réconciliations permanentes. C'est pour eux, en les regardant vivre dans la vie réelle, que j'avais écrit les personnages d'Antoine, le pizzaïolo et Marie, la vendeuse en lingerie. Mais la fiction est toujours plus forte que la réalité. Titof et Ksandra se sont si bien identifiés à leurs rôles qu'ils se sont réellement séparés, en plein milieu de la semaine du tournage. Aïe. Il a salement morflé, Titof, et ça a donné à son interprétation d'Antoine une gravité rimbaldienne, une profondeur qui ont transformé ce petit vaudeville en une presqu'émouvante chronique sentimentale.
Pour ceux qui me disent que je devrais apparaître dans mes propres films: voici un souvenir de la scène du magasin de lingerie.
Ksandra: Tiens, v'là l'autre pornographe.
Ovidie: Oh arrête, il est gentil...
Biroute: Bonjour, les filles !
Ovidie et Ksandra (ensemble) Bonjour monsieur Biroute !
Quoi d'autre, à propos de ce film ? Oui. Ovidie, dans un de ses premiers gros rôles, si fort convaincue de l'intérêt du projet qu'elle m'y offre une belle scène de sodomie. Quelques semaines après ce tournage, elle a brutalement changé son fusil d'épaule et s'est mise à me cracher dessus, me traiter de salaud et de manipulateur et prétendre que ce film était son pire souvenir. Regardez-là dans le documentaire, assise sur mes genoux, disant qu'elle pensait n'être pas allée assez loin dans sa scène, et essayez de comprendre, après ça. Ah, les nanas !!! XYZ a connu un gentil succès critique. Même « Le Monde » en a parlé, c'est dire ! Pour moi, c'est l'un des films dans lesquels j'ai réussi les plus intenses scènes de cul de ma carrière, c'est un film qui me ressemble plus que les autres, et c'est un merveilleux souvenir.
Un projet de jaquette.
Ksandra, Ovidie, Valérie, Titof.
Voici encore un documentaire. C'est le making of de XYZ. Un making of de 26 minutes, un peu bâclé, fait de bouts de ficelle et de coups de caméra donnés un peu au hasard. Mais pas totalement inintéressant. Parce que XYZ était un projet intéressant. Le film (je l'ai tourné en 2001, je crois) m'avait été inspiré par le couple Titof Ksandra, leurs relations tumultueuses, leurs engueulades et les réconciliations permanentes. C'est pour eux, en les regardant vivre dans la vie réelle, que j'avais écrit les personnages d'Antoine, le pizzaïolo et Marie, la vendeuse en lingerie. Mais la fiction est toujours plus forte que la réalité. Titof et Ksandra se sont si bien identifiés à leurs rôles qu'ils se sont réellement séparés, en plein milieu de la semaine du tournage. Aïe. Il a salement morflé, Titof, et ça a donné à son interprétation d'Antoine une gravité rimbaldienne, une profondeur qui ont transformé ce petit vaudeville en une presqu'émouvante chronique sentimentale.
Pour ceux qui me disent que je devrais apparaître dans mes propres films: voici un souvenir de la scène du magasin de lingerie.
Ksandra: Tiens, v'là l'autre pornographe.
Ovidie: Oh arrête, il est gentil...
Biroute: Bonjour, les filles !
Ovidie et Ksandra (ensemble) Bonjour monsieur Biroute !
Quoi d'autre, à propos de ce film ? Oui. Ovidie, dans un de ses premiers gros rôles, si fort convaincue de l'intérêt du projet qu'elle m'y offre une belle scène de sodomie. Quelques semaines après ce tournage, elle a brutalement changé son fusil d'épaule et s'est mise à me cracher dessus, me traiter de salaud et de manipulateur et prétendre que ce film était son pire souvenir. Regardez-là dans le documentaire, assise sur mes genoux, disant qu'elle pensait n'être pas allée assez loin dans sa scène, et essayez de comprendre, après ça. Ah, les nanas !!! XYZ a connu un gentil succès critique. Même « Le Monde » en a parlé, c'est dire ! Pour moi, c'est l'un des films dans lesquels j'ai réussi les plus intenses scènes de cul de ma carrière, c'est un film qui me ressemble plus que les autres, et c'est un merveilleux souvenir.
Un projet de jaquette.
Le courrier des lectrices.
Tiens? Une nana qui écrit? Enfin ! Vas-y mademoiselle, exprime-toi :
"Non mais, plus ca va et plus c'est pire là... Non, parce que... Moi au début quand j'ai rencontré Alex, j'étais hyper contre les films pornos, parce que bon... Les pauvres filles, tout ça... Elles font pas ca par plaisir (mais qu'elle est belle, qu'elle est belle, Rebecca...). Et puis... Bon, j'en ai vu un, le premier film réalisé par Ovidie, Lilith, (l'a du gout mon homme...) , et... Bon, je te passe les détails ? J'en ai vu un deuxième , French beauty... Et en plus j'ai RIGOLE!!! Parce que y'a de l'humour dans les films pornos maintenant??? Mais le pire, c'est que là, je craque sur le blog d'un énergumène dont il y a quelques mois je n'osais prononcer le nom à plus de 5 décibels dans l'oreille de mon teckel... Vous avez dit John B Quoi ??? Bon, le Alex, il a gagné, je me rends, chui fan.
Merci!
Audrey."
Oh, ça fait du bien ça! Je me sens toujours comme un vilain ver de terre quand les nanas me disent que le porno c'est moche. Je me dis à chaque fois que, si elles pensent ça, c'est que j'ai mal fait mon métier. Merci Audrey de me rassurer un peu.
Une photo d'Ovidie pour Audrey. C'était à l'époque de XYZ. Bon souvenir.
"Non mais, plus ca va et plus c'est pire là... Non, parce que... Moi au début quand j'ai rencontré Alex, j'étais hyper contre les films pornos, parce que bon... Les pauvres filles, tout ça... Elles font pas ca par plaisir (mais qu'elle est belle, qu'elle est belle, Rebecca...). Et puis... Bon, j'en ai vu un, le premier film réalisé par Ovidie, Lilith, (l'a du gout mon homme...) , et... Bon, je te passe les détails ? J'en ai vu un deuxième , French beauty... Et en plus j'ai RIGOLE!!! Parce que y'a de l'humour dans les films pornos maintenant??? Mais le pire, c'est que là, je craque sur le blog d'un énergumène dont il y a quelques mois je n'osais prononcer le nom à plus de 5 décibels dans l'oreille de mon teckel... Vous avez dit John B Quoi ??? Bon, le Alex, il a gagné, je me rends, chui fan.
Merci!
Audrey."
Oh, ça fait du bien ça! Je me sens toujours comme un vilain ver de terre quand les nanas me disent que le porno c'est moche. Je me dis à chaque fois que, si elles pensent ça, c'est que j'ai mal fait mon métier. Merci Audrey de me rassurer un peu.
Une photo d'Ovidie pour Audrey. C'était à l'époque de XYZ. Bon souvenir.
-305. Ma première expérience de débauche
Encore un p'tit coup d'Xperiment ? Allez, une autre histoire. Bien méchante.
« Je suis une fille de bonne famille. C'est pas de ma faute, j'ai pas choisi. J'ai été élevée dans un cocon, dans une école privée aux Etats-Unis. Quand je suis arrivée en France pour ma première année d'études supérieures, je ne savais rien du monde. Et encore moins des garçons. J'étais une vraie nunuche. Un exemple, un seul : personne, à part le gynéco de ma mère, ne m'avait vue nue. A vingt ans. Pas mal, non ? Un mois après le début des cours, dans mon école, on a eu droit à une soirée de bizutage organisée par les sortants. J'avais jamais entendu parler de quoi que ce soit dans le genre, mais j'étais décidée à jouer le jeu, pour m'intégrer. Ils nous ont réuni, tous les nouveaux, dans la cour de l'école et ils nous ont bombardé de peinture rose, pour ouvrir le bal, puis ils nous ont enfermé dans un amphi et ils nous ont forcé à jouer à des jeux idiots. Ensuite, ils nous ont volé nos vêtements et ils nous ont forcés à faire le tour du quartier, en sous-vêtements, avec la peinture rose plein les cheveux et le visage. Finalement ils nous ont donné rendez-vous le soir, dans un club privé, pour la dernière partie de la cérémonie. Quand je suis arrivée à la soirée, j'étais plutôt excitée. Courir presque nue dans la rue et sucer les bananes qu'on avait accroché aux slips des garçons, c'était ma première expérience de débauche et ça m'avait bien émoustillée. Je me sentais presque devenir une révolutionnaire.. Comme en plus, après ça, on s'était offert un bon restaurant, avec vin et alcool, je pétais la forme, à minuit. J'étais décidée à briller. Le but de la soirée était simple : Seraient nommés chef et cheftaine de la nouvelle promotion celui et celle qui ferait le truc le plus gonflé. L'un après l'autre, les nouveaux et les nouvelles sont montés sur le podium. Mais personne n'osait se lâcher vraiment. La plupart des garçons montraient leurs fesses. Les filles montraient leurs seins ou leurs chattes, brièvement, en rougissant. Il y en a une qui a fait un strip-tease complet, une autre s'est frottée langoureusement au chef des sortants et a mimé une fellation. J'étais déçue, je m'attendais à mieux que ça. J'aurais aimé, au fond, que ça tourne à la partouze. Quand mon tour est arrivé, j'ai décidé de leur montrer de quoi j'étais capable. J'ai commencé par un strip-tease. Quand j'ai été complètement nue, je me suis frottée à tous les garçons, l'un après l'autre. Ca chauffait, je sentais l'ambiance devenir électrique et je voyais bien, à la tête des autres filles, que j'étais sur la bonne voie. Elles étaient vertes de jalousie. Les garçons m'encourageaient, j'étais si fière de moi, si excitée que j'ai voulu aller encore plus loin. J'ai baissé le pantalon de l'un des garçons et j'ai frotté mes fesses contre son sexe. Les autres garçons ont poussé des « bravos » en me criant d'aller encore plus loin. Plus loin ? D'accord. Il fallait frapper un grand coup. Et c'est là que j'ai pété les plombs. Il y avait un gros gâteau à la crème avec sept bougies qui représentaient les sept années d'étude à l'école. Je suis montée nue sur la table du buffet, j'ai écarté les jambes devant toute l'assemblée, j'ai ouvert ma chatte à deux mains pour que tout le monde la voie bien. et j'ai éteint les bougies du gâteau en pissant dessus. Quand j'ai terminé mon show, il y avait un grand silence dans la salle. J'ai été élue cheftaine ce soir-là. Mais trois mois après, j'ai fait une dépression nerveuse et j'ai du quitter l'école. Tout le monde m'appelait « la pisseuse ».
"Cat's eyes" !!! Dans le saladier, pas sur la moquette !".
« Je suis une fille de bonne famille. C'est pas de ma faute, j'ai pas choisi. J'ai été élevée dans un cocon, dans une école privée aux Etats-Unis. Quand je suis arrivée en France pour ma première année d'études supérieures, je ne savais rien du monde. Et encore moins des garçons. J'étais une vraie nunuche. Un exemple, un seul : personne, à part le gynéco de ma mère, ne m'avait vue nue. A vingt ans. Pas mal, non ? Un mois après le début des cours, dans mon école, on a eu droit à une soirée de bizutage organisée par les sortants. J'avais jamais entendu parler de quoi que ce soit dans le genre, mais j'étais décidée à jouer le jeu, pour m'intégrer. Ils nous ont réuni, tous les nouveaux, dans la cour de l'école et ils nous ont bombardé de peinture rose, pour ouvrir le bal, puis ils nous ont enfermé dans un amphi et ils nous ont forcé à jouer à des jeux idiots. Ensuite, ils nous ont volé nos vêtements et ils nous ont forcés à faire le tour du quartier, en sous-vêtements, avec la peinture rose plein les cheveux et le visage. Finalement ils nous ont donné rendez-vous le soir, dans un club privé, pour la dernière partie de la cérémonie. Quand je suis arrivée à la soirée, j'étais plutôt excitée. Courir presque nue dans la rue et sucer les bananes qu'on avait accroché aux slips des garçons, c'était ma première expérience de débauche et ça m'avait bien émoustillée. Je me sentais presque devenir une révolutionnaire.. Comme en plus, après ça, on s'était offert un bon restaurant, avec vin et alcool, je pétais la forme, à minuit. J'étais décidée à briller. Le but de la soirée était simple : Seraient nommés chef et cheftaine de la nouvelle promotion celui et celle qui ferait le truc le plus gonflé. L'un après l'autre, les nouveaux et les nouvelles sont montés sur le podium. Mais personne n'osait se lâcher vraiment. La plupart des garçons montraient leurs fesses. Les filles montraient leurs seins ou leurs chattes, brièvement, en rougissant. Il y en a une qui a fait un strip-tease complet, une autre s'est frottée langoureusement au chef des sortants et a mimé une fellation. J'étais déçue, je m'attendais à mieux que ça. J'aurais aimé, au fond, que ça tourne à la partouze. Quand mon tour est arrivé, j'ai décidé de leur montrer de quoi j'étais capable. J'ai commencé par un strip-tease. Quand j'ai été complètement nue, je me suis frottée à tous les garçons, l'un après l'autre. Ca chauffait, je sentais l'ambiance devenir électrique et je voyais bien, à la tête des autres filles, que j'étais sur la bonne voie. Elles étaient vertes de jalousie. Les garçons m'encourageaient, j'étais si fière de moi, si excitée que j'ai voulu aller encore plus loin. J'ai baissé le pantalon de l'un des garçons et j'ai frotté mes fesses contre son sexe. Les autres garçons ont poussé des « bravos » en me criant d'aller encore plus loin. Plus loin ? D'accord. Il fallait frapper un grand coup. Et c'est là que j'ai pété les plombs. Il y avait un gros gâteau à la crème avec sept bougies qui représentaient les sept années d'étude à l'école. Je suis montée nue sur la table du buffet, j'ai écarté les jambes devant toute l'assemblée, j'ai ouvert ma chatte à deux mains pour que tout le monde la voie bien. et j'ai éteint les bougies du gâteau en pissant dessus. Quand j'ai terminé mon show, il y avait un grand silence dans la salle. J'ai été élue cheftaine ce soir-là. Mais trois mois après, j'ai fait une dépression nerveuse et j'ai du quitter l'école. Tout le monde m'appelait « la pisseuse ».
"Cat's eyes" !!! Dans le saladier, pas sur la moquette !".
dimanche, décembre 07, 2003
-306. J'ai le monde à mes pieds
"(chour)
Tu ne vieilliras pas
J'aurai un accident
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Je serai morte avant
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Les vieux, c'est dégoûtant
Je n'ai que dix-neuf ans
Et six ans dans ma tête
J'aurai bientôt vingt ans
On pourra faire la fête
Ensuite, vingt et un ans.
Faudra qu'le temps s'arrête
(chour)
Tu ne vieilliras pas
J'aurai un accident
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Je serai morte avant
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Les vieux, c'est dégoûtant
J'ai une peau de bébé
Et des seins de gamine
J'ai les mecs à mes pieds
Et des jambes assassines
J'ai le monde à mes pieds
Et j'veux pas qu'ça s'termine !
(chour)
Tu ne vieilliras pas
J'aurai un accident
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Je serai morte avant
(chour)
Tu ne vieilliras pas
Les vieux, c'est dégoûtant
J'aurai jamais trente ans
Ch'rai jamais une adulte
J'veux rester une enfant
Et qu'on me voue un culte
J'veux qu'on arrête le temps
Vieillir c'est une insulte"
J'ai pondu cette chanson pour Ally. Aaaaah, Ally!
Photo souvenir. Mon appartement en chantier, Loulou, Ally et moi après la séance photo. Toute une histoire... Comment partager des trucs comme ça ?
 |